ATTENTION ! la salle a changé (R014, bât V)
Université de Paris Ouest Nanterre
RER, ligne A / SNCF, gare Saint-Lazare : arrêt Nanterre-Université
Le colloque se déroule au bâtiment V, salle R 014 (plan du campus)
lundi 8 novembre
matin
9h15 : Accueil
• 9h30-10h15
René Major et Chantal Talagrand (Institut des Hautes Études en Psychanalyse) :
« Les paradoxes de la civilisation »
• 10h15-11h
Emmanuel Rubio (Université de Paris Ouest) :
« Freud, Breton et l’inconscient-capitale »
11h-11h15 : pause café
• 11h15-12h
George-Arthur Goldschmidt (Écrivan et traducteur) :
« L’allemand, tel que Freud le parle »
après-midi
• 14h-14h45
Bernard Baas (Fustel de Coulanges, Strasbourg) :
« Unbehagen et Krisis »
• 14h45-15h30
Jacques Le Rider (École Pratique des Hautes Études) :
« Perspectives de la culture-analyse »
15h30-16h : pause café
• 16h-16h45
Sara Thornton (Université de Paris VII) :
« Unbehagen, Malaise, Discontents : Jekyll et Hyde parlent culture avec Freud » (titre provisoire)
• 16h45-17h30
Clotilde Leguil (Université de Paris VIII) :
« Lire le Malaise dans la civilisation à l’ère du Surmoi hédoniste et évaluationniste »
mardi 9 novembre
matin
• 9h-9h45
Sophie Marret (Université de Paris VIII) :
« Le commandement du Surmoi au temps de l’inexistence de l’Autre »
• 9h45-10h30
Éric Leroy du Cardonnoy (Université de Caen) :
« La culture chez Sigmund Freud et la civilisation chez Norbert Elias »
10h30-11h : pause café
• 11h-11h45
Étienne Balibar (Université de Paris Ouest) :
« Du père de la horde au dieu de Moïse, que vient faire le Surmoi culturel qui soit si malaisé ? »
• 11h45-12h30
Éric Laurent (Université de Paris VIII):
« Qu’est-ce qu’un organe du corps ? »
après-midi
• 14h-14h45
« Freud sans malaise »
• 14h45-15h30
Richard Pedot (Université de Paris Ouest) :
« Oripeaux et oriflammes : Conrad-Freud, aller-retour »
15h30-16h : pause café
• 16h-16h45
Nella Arambasin (Université de Franche-Comté) :
« Malaise au musée : la Kulturkritik de Thomas Bernhard »
• 16h45-17h30
Jean-François Laplénie (Université de Paris IV) :
« 1930 : la reconnaissance de “Freud écrivain” ? »